David Christoffel on Fri, 31 Oct 2003 12:40:50 +0100 (CET) |
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----- Message transféré de David Christoffel <[email protected]> ----- Date : Fri, 31 Oct 2003 08:18:50 +0100 De : David Christoffel <[email protected]> Adresse de retour :David Christoffel <[email protected]> « il vaut mieux inviter Gérard que jeter la viande », a dit Annie. Dès lors, la formule, comme ça : bien coupée de son contexte, cela fait comme une Moralité : car tout est bien qui finit bien et qui peut commencer par là. Encore quelques conditions générales et il sera impossible de croire une seconde qu’elles peuvent se prêter à des parades du genre « clignement de l’œil » et « à la con » et l’un n’allant pas sans l’autre, des parades étant toujours « à la con ». Annie est toujours bien au-dessus de ça : car elle ne plaisantait pas quand elle disait ça, quoiqu’en disent considérateurs généraux. J’aimerais si bien me passer du fantasme de la petite souris écoutant ce que l’un à l’autre. Il est impossible qu’il n’y ait que les positions martiales qui asseyent ou bien il est impossible qu’il faille de l’assise pour. [il faut que je te dise ! il s’est excusé mais avec un maximum de grimaces d'encombrements, effectivement, il se croyait libre, il parle d'obligations : je ne pense pas qu'il s'agisse d'un grand truc, quand même serait-il plus important : qu'il aille cependant s’y faire mettre, il en ressortira au moins des figures déchirantes sur l’aliénation occasionnée : et je ne dis pas ça pour lui être désagréable, c'est parce que ça compte, tu vois…] Par déduction, vues les échéances échues et vu ce qui reste à venir, on est dans la partie la plus agréable de la saison. J’ai trouvé ton accompagnement limite-excitant – mais la réserve de moitié conciliante est toujours un peu comme ça : cela dit, ce n'est pas parce qu'elle est toujours un peu comme ça qu'elle ne l'est pas : dit comme ça, j'ai été grandement victime ou faut-il se rendre compte de l'effet inverse ou se bien disposer à re-centrer des suspicions et mieux choisir ses ennemis : depuis que j'avais entendu des réserves éparses, quoiqu’elles ont toutes joués à dissocier la réserve de leur moitié conciliante. Assurément, c’est le genre de débats qui blindent des personnages comme des meubles qui se trimballent / [depuis la baignoire je ne voyais pas le texte mais] j'aime imaginer les histoires (de guerres et d'amours) comme des questions de mobilier, de délimitation : ce qui est recevable, ce que ça doit faire, d'où ça doit se tenir... j'insiste (sans doute par goût pour l'entêtement et plus que par soif d'exactitude, mais ce n'est pas trop douloureux) : la réserve cultive quand même un putain de soin : à doser ses effets pour de faux à l'insu de son – . Ne crois-tu pas que Roch Voisine doit beaucoup à Garth Brooks et aux « Unanswered Prayers » surtout , en termes de phrasé, j’entends, (c) David Christoffel forward-s- disponibles sur http://www.criticalsecret.com/davidchristoffel ----- Fin du message transféré ----- < n e t t i m e - f r > Liste francophone de politique, art et culture liés au Net Annonces et filtrage collectif de textes. <> Informations sur la liste : http://nettime.samizdat.net <> Archive complèves de la listes : http://amsterdam.nettime.org <> Votre abonnement : http://listes.samizdat.net/wws/info/nettime-fr <> Contact humain : [email protected]