David Christoffel on Wed, 4 Feb 2004 08:12:57 +0100 (CET)


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[nettime-fr] Trans.: forward n° 021


puisque tu te sentais un peu..

----- Message transféré de David Christoffel <[email protected]> -----
   Date : Tue,  3 Feb 2004 22:32:45 +0100
     De : David Christoffel <[email protected]>
Adresse de retour :David Christoffel <[email protected]>
  Sujet : forward n° 021
      À : [email protected]

J’ai hésité à passer par l’introduction, je me disais que je n’avais pas à 
profiter, pas même à me venger, à coup de remarques personnelles, du bout d’un 
statut que  la responsabilité me donnait à condition d’une circonstance. En 
l’occurrence, qu’il ait pu s’agir de profit ou de vengeance, la dote aurait 
été bien maigre ! Il m’a semblé que l’accumulation de nos références devait 
avoir une introduction et que l’image de nos bidouillages pourrait être 
entachée par une présentation trop plate de ce qui peut leur donner terrain 
commun et histoire d’union voulant force. C’est pour des raisons de ce genre 
que j’ai préféré en passer par là, sachant qu’il ne devait pas s’agir d’une 
chose aussi abjecte, plutôt d’envisager des propositions si fédératrices. De 
toute façon, il ne pouvait pas en aller comme ça sans justifier cette espèce 
d’association. 
Bien sûr, il n’y a pas seulement, dans lesdits bidouillages, des choses qui 
les relient. Évidemment, leur reliure ne peut les recouvrir et tout ce que je 
pourrai en dire n’a pas vocation à les introduire, pas même les uns aux 
autres. Il faudrait plutôt insister sur le caractère gougnafier d’un mot tel 
que « bidouillage », il respire la modestie la mieux partagée, mais il la 
respire plus qu’il ne la répand, heureusement que cela n’a pas empêché 
quelques-uns d’être un peu suffoqués. Vous pensez bien que je n’ai pas de 
contact avec eux. Imaginez-vous cependant que c’est encore pour ceux-là que je 
réserve ma plus grande tendresse. Mais n’écoutez pas laquelle souffrance me 
pèse de ne point trop les entendre mugir.  
Cela commence à dater. La rigueur est souhaitable quand elle est belle. Oui, 
il serait jolie que je m’applique à ne plus me tourmenter, par défaut, de vos 
paranos : celles qui vous poussent à croire que je pouvais exercer quelque 
dureté à l’idée de notre association.

© David Christoffel

----- Fin du message transféré -----
 
 
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